top of page

 

MIXTES - collectif

NUIT BLANCHE DE MONTRÉAL

​

03 au 17 novembre  2017

​

vernissage 03 mars 19h - 04 mars 01h

Évènement Facebook

​

​

​

​

MARC GOSSELIN / ATELIER / GALERIE

3880 rue Sainte- Catherine Est Montréal, Qc, H1W 2G4

514 292-0696

​

​

​

Marc Gosselin  / Atelier / Galerie, présente une exposition collective mettant de l’avant des artistes d’Hochelaga-Maisonneuve dont; Yannick Chayer, Karine Demers,  Martin Rondeau, ainsi que Marc Gosselin.

Vernissage et des performances musicales par FOXP2 + Y Chayer seront proposés lors de la soirée du 3 mars 2018  dès 19h dans le cadre de la nuit blanche.

 

FOXP2 ; Andre Fry  / Guitar  et  M. Rondeau / Bass

Y CHAYER ; Yannick Chayer / Saxophone soprano et électronique,

 

 

 

Karine Demers

  Inspirée par le papier comme médium, c'est en le pliant en formes simples et en très grand nombre que ses pièces se construisent. Elle travaille le papier en s'inspirant de diverses techniques empruntées aux traditions de l'origami et de la mosaïque. La lumière, sous différents angles, ajoute des effets de profondeur  sur le relief des pliages. Par des formes nettes ou plus organiques, cette artiste réussit à fasciner par des éléments à la fois abstraits et être éloquente dans son approche méditative dans la répétition. La contrainte de désordres d'habitude (Toc) et des troubles alimentaires, devenant force créative. L'art-thérapie permet à cette artiste de se libérer à travers une démarche esthétique s'inscrivant dans l'analyse de son identité intérieure, l'expression de ses émotions et l'affirmation de sa personnalité. C'est une réflexion sur un désir de mettre en scène toute la beauté et la vulnérabilité de notre existence dans une même création.
Ses œuvres, présentées publiquement depuis 2015, suscitent curiosité et étonnement, tout en s’harmonisant à sa personnalité par le travail de patience, d'une vitalité créative, mais aussi par la délicatesse de certaines pièces.

 

Martin Rondeau

  Martin Rondeau, photographe de mode de renom, a évolué naturellement vers l’art grâce à sa vision et à son intuition créative. Sous l’objectif, les femmes s’icônisent, il crée la beauté. Il s’approprie l’image, la transforme, la fait vivre en nous invitant à un véritable parcours initiatique, à un voyage au centre de nous-même. Il flirt avec nos tabous, révèle les émotions, les façonne, les stimule, les sublimes. Sa passion de l’esthétisme et de ses mystères inavouables le pousse encore plus loin dans les limites de son interprétation artistique. Son inspiration se nourrit de ses fantasmes emprunts de réalité débridée et d’érotisme affirmé. Son talent s’illustre mondialement de grandes galeries d’art et évènements renommés tel la foire internationale de Miami; le Art Basel. De l’Amérique en passant par l’Europe et l’Asie, ses œuvres voyagent, intriguent, fascinent et séduisent tant les collectionneurs que l’industrie de la mode. C’est donc sans conteste que demain, le monde de l’art devra, compter sur l’énergie créatrice Rondeau, une valeur devenue incontournable. Son audace et son talent redéfinissent les limites du processus créatif faisant de cet artiste photographe, un visionnaire.

 

Marc Gosselin

  Marc Gosselin s'intéresse à l'environnement bâti, au patrimoine industriel et au paysage urbain. L'iconographie suggérée est dominée par des 
représentations de l'environnement urbain. Son travail de plasticien est ponctué de collages issus de photographies représentatives de sa quotidienneté. La résonance de l'architecture industrielle montréalaise est présente au sein du corpus artistique de Gosselin, on peut y deviner les zones patrimoniales et des édicules laissés à l'abandon. Malgré des sujets plutôt statiques, Gosselin laisse transparaître dans ses tableaux la vivacité des paysages. Quel que soit le sujet et le médium privilégié, ses oeuvres possèdent ce curieux pouvoir de révéler le processus grâce auquel elles sont façonnées plutôt que de miser sur une forme traditionnelle de représentation. 

 

Yannick Chayer

  Ayant flirté entre différentes allégeances artistiques comme le free jazz, l’hindustani en Inde pendant quelques années ainsi que l’art plastique, Yannick Chayer définit sa pratique comme étant plutôt dilettante. À travers ces champs d’intérêts variés et différents médiums il cherche à élaborer un langage personnel sans formules rigides. Être le scintillement d’une réalité ésotérique et libre, transcendant la culture de masse, est la cible à atteindre. Il se concentre présentement sur les possibilités du saxophone soprano dans un contexte noise analogique et musique concrète. Il vit et travail à Montréal où il participe à diffèrent projet collaboratifs ainsi que solo (le centre Clark, le MAI, Circa, La galerie Yves Laroche, Puce 133, pop Montréal, Cuch fest XII et les mercredis musiques).

 

 

 

 

​

 

​

bottom of page